1- La vie est bien meilleure quand on reste loin des gens négatifs, envieux ou malheureux. Oui, c’est comme dire que l’eau mouille ou que le feu brûle. C’est d’une évidence effarante. C’est basique, c’est clair, c’est logique. Et pourtant… tellement passent à côté.

2- Certaines personnes ne prendront jamais leur vie en main parce qu’elles aiment trop leur rôle de victime. Ça leur donne une excuse pour ne rien faire. Ça leur évite de bouger. Le pire, c’est quand ça devient toute leur identité. Peu importe ce que vous ferez pour les sortir de là, vous ne pourrez rien faire pour ce genre de personne. Laissez-les. Vous n’êtes pas Jésus-Christ. Même lui, quand vous voyez comment il a fini, vous devez comprendre que ça ne sert à rien de vouloir sauver des gens qui n’ont pas envie d’être sauvés.

3- Vous ne pouvez pas cacher ce que vous faites régulièrement. Ce que vous consommez se voit dans votre énergie/apparence, ce que vous lisez se voit dans vos mots, ce que vous pensez se voit dans vos actions. Alors choisissez bien les choses que vous faites, parce que tout finit par se voir.

4- Ayez un sens de l’urgence envers vous-même. Dès que vous sentez qu’il est temps de passer à l’action, bougez. Le plus rapidement possible. Laissez très peu de temps entre le moment où vous sentez l’élan pour faire cette chose et le moment où vous le faites. Parce que c’est dans cette intervalle que la peur, le doute et la procrastination se glissent. Plus cette intervalle est longue, moins vous avez de chance de passer à l’action. Et puis rappelez vous. Personne ne viendra le faire à votre place dans tous les cas. Et surtout, on ne comprend les choses qu’en les faisant, pas en les décortiquant dans notre tête.

5- Vous n’attirez pas ce que vous voulez. Vous attirez ce que votre système nerveux peut supporter sans flancher. Alors si vous voulez plus, arrêtez de demander. Commencez d’abord par augmenter votre capacité à recevoir. Concrètement ça veut dire apprendre à rester calme dans l’inconfort, s’exposer à plus (plus d’amour, plus d’argent, plus de responsabilités, plus de visibilité. Pas d’un coup. Par paliers. Comme un muscle qu’on entraîne) et cesser de dramatiser la nouveauté. Tout ce qui est nouveau n’est pas dangereux. C’est juste de l’inconnu. Et plus vous vous exposerez à ça, plus votre système nerveux s’y habituera. Et là, vous pouvez redemander. Et vous verrez. La vie n’est pas aussi injuste que vous le pensez.

6- Entourez vous de personnes qui vous ressemblent vraiment. Parce que c’est une bombe à retardement de traîner avec des gens qui doivent porter un masque pour être ce que vous incarnez naturellement. Au début elles vous suivent mais viendra un moment où elles vont s’essouffler parce que ce n’est pas leur rythme naturel. Et quand ça arrivera, elles vous en voudront et finiront par vous détester pour ça.

7- Ce n’est pas parce que les gens veulent qu’ils peuvent. L’envie est une chose, la capacité en est une autre. Parfois, une personne a sincèrement envie d’être là pour vous mais son incapacité à le faire est plus souvent la conséquence de ses propres batailles internes, de ses peurs les plus profondes, de ses ressources limitées ou d’un simple manque d’outils pour communiquer et/ou agir autrement. Quand vous comprendrez cela, vous cesserez de vous torturer avec la question « qu’est-ce que j’ai fait de mal?»

8- Vous pouvez choisir de reconstruire vos croyances fondamentales et de remplacer vos mécanismes de défense par des stratégies plus alignées avec qui vous êtes aujourd’hui. Votre cerveau et votre système de croyances ne sont pas un jardin fragile qu’il faudrait protéger de toute menace extérieure mais plutôt un écosystème vivant, capable de s’adapter, de grandir et de tirer force et clarté des tempêtes qu’il traverse.

9- Si vous avez des besoins/envies/questions, c’est à vous de les exprimer clairement puis de laisser l’espace et le temps aux autres de développer la capacité d’y répondre. Si CAPACITÉ il y a, évidemment. Voir point 7. Les gens aiment trop tourner autour du pot et laisser des sous-entendus en espérant qu’on devine les choses à leur place. Sérieusement, vous n’avez que ça à faire? Vous pensez vraiment qu’on a que ça à faire? Dites ce que vous voulez. Expliquez pourquoi c’est important pour vous et montrez aussi en quoi l’autre aussi peut en bénéficier et laissez le/la vous répondre. Le pire qu’on puisse vous dire, c’est non. Et même là, si vous voyez les choses de façon objective, c’est pas le pire qui puisse vous arriver parce que vous aurez gagné un temps fou que vous pourrez utiliser autrement.

10- La douleur est une donnée, une simple information. Ne la dramatisez pas. Au pire, elle vous alerte. Au mieux, elle vous informe. Dans tous les cas, elle n’est qu’un message. Pas une condamnation. Utilisez la pour ce qu’elle est : un outil. Un outil pour affûter votre discernement, comprendre vos limites et identifier ce qui ne vous convient pas. Ni plus, ni moins.

11- L’environnement l’emporte toujours sur la volonté. Peu importe votre motivation, si votre environnement ne vous supporte pas, vous ne réussirez pas. C’est comme planter une plante tropicale en haut d’une montagne enneigée. Peu importe sa volonté de fleurir, c’est le climat qui décidera. Doooonc, si vous voulez réussir un truc, si l’environnement ne change pas, changez d’environnement. C’est pour ça que vous avez des jambes.

12- L’authenticité est la seule stratégie qui tient sur le long terme. Plus vous êtes vous, plus ce qui n’est pas aligné avec vous s’éloigne naturellement. Quand vous arrêtez de jouer un rôle et que vous êtes juste vous-même, les mauvaises personnes perdent tout intérêt à être en votre compagnie, les bonnes portes s’ouvrent et les opportunités alignées apparaissent. Soyez vous même.

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13- Ne soyez pas vous même. Oui je sais. Ça sonne comme une contradiction mais sérieux, si votre “vous-même” c’est être jaloux(se), envieux(se), aigri(e), nonchalant(e), irresponsable, paresseux(se) et j’en passe… alors non, ne soyez pas vous-même. Le problème, c’est que beaucoup de gens confondent authenticité et paresse. “Je suis comme ça” devient un bouclier pour ne rien changer. Mais être vraiment soi-même, c’est oser affronter ses parts d’ombre, ses failles et faire le boulot pour ne plus les laisser diriger votre vie ou pourrir la vie des autres. Parce qu’à un moment, il faut arrêter de se cacher derrière l’excuse du «je suis comme ça» pour justifier vos comportements de merde et votre paresse. Ce n’est pas vous, c’est juste vous en version pas finie. Version gogole. Duh!

14- Vous devez des choses aux gens. Cette phrase « je ne dois rien à personne » est rarement juste. Vous devez des choses aux gens. Vous devez du respect. Vous devez de la considération. Et parfois même, par dessus tout, vous devez la vérité aux gens, même si elle ne fera pas plaisir. Parce que vous devez de la clarté aux gens. Pas à tout le monde, pas tout le temps, mais à ceux qui vous aiment, qui vous soutiennent et/ou qui investissent leur temps, leur énergie ou leur confiance en vous.

15- Soyez obsessionnel(le)s. On voit souvent l’obsession comme un défaut mais rien de solide ne s’est jamais construit sans une part d’obsession. Soyez obsessionnels avec ce qui compte. C’est à dire avec votre discipline, avec vos rêves… enfin bref, avec ce qui compte vraiment pour vous parce qu’au fond, l’obsession n’est rien d’autre que de l’attention répétée. Et devinez quoi? Votre attention, c’est la vraie monnaie de votre vie. Là où va votre attention va votre vie. Donc non, ne fuyez pas l’obsession. Dirigez la, canalisez la et laissez la vous emmener plus loin que l’équilibre tiède que le monde essaie de vous vendre.

16- Ne combattez pas ce que vous ne voulez pas. Le secret du changement, c’est de diriger votre énergie vers ce que vous voulez avoir/construire au lieu de la gaspiller à combattre ce que vous ne voulez pas. Par exemple, si vous n’aimez pas la guerre, ne soyez pas contre la guerre, soyez pour la paix. Si vous n’aimez pas un parti politique, ne soyez pas contre ce parti politique, soutenez et soyez pour un autre parti politique. Parce qu’à chaque fois que vous êtes contre quelque chose, vous lui donnez quand même de l’énergie. Apprenez plutôt à être POUR ce que vous voulez, à donner de la force à ce que vous voulez voir fleurir et à ignorer ce qui ne vous correspond pas.

17- Les gens ne vous laissent pas tomber parce qu’ils veulent forcément vous faire du mal. Les gens vous laissent tomber parce que leurs désirs/envies passent en priorité avant les vôtres. C’est rarement une attaque personnelle. Ce n’est pas vous qu’ils rejettent, c’est qu’ils se préfèrent et qu’ils se choisissent. Ça n’excuse rien, mais ça change tout quand on comprend ça. (voir aussi point 7)

18- Avoir confiance en vous ne tient qu’à une chose : votre capacité à tenir les promesses que vous vous faites. Chaque fois que vous dites « je vais le faire » et que vous ne le faites pas, vous montrez à votre cerveau que votre parole ne vaut rien. Alors forcément, à la longue, vous finissez par ne plus vous croire vous-même. Et si vous ne vous faites pas confiance, que vous avez zéro preuve de vos propres capacités, bon courage pour inspirer confiance aux autres.

19- Attachez vous. Sérieux quoi. Attachez-vous. Le mot détachement a le vent en poupe en ce moment. J’ai moi-même fait une vidéo sur le sujet. Écoutez, le détachement matériel a du sens. Le détachement des résultats aussi. Même le détachement d’une identité figée ou de certaines émotions peut être libérateur.

Mais se détacher de touuuut, surtout des liens humains, ce n’est pas de la sagesse. C’est de la peur. Peur qu’on ne vous aime pas, peur d’être vulnérables, peur de l’intimité, peur du rejet alors que vous crevez d’envie d’être aimé(e)s, soutenu(e)s et épaulé(e)s. Bandes de mauviettes. Comment voulez-vous qu’on vous tienne la main si vous ne tendez pas la vôtre? Comment voulez-vous qu’on vous aime si vous faites semblant de ne pas en avoir besoin? Comment voulez-vous recevoir si vous passez votre temps à prétendre que vous ne voulez rien? Come on, make it make sense. L’attachement sain existe. Vous savez? Et ça commence par assumer vouloir ce que vous voulez. Duh!

20- Si tout le monde vous aime, c’est rarement bon signe. Oui, c’est cool d’être aimé(e). Par ceux qui comptent. Pas par tout et n’importe qui. Sinon cela signifie que vous vous effacez pour plaire aux autres. En anglais, on dira que vous êtes une people pleaser. En français, une bonne poire, un paillasson ou un(e) lèche-bottes. Alors la prochaine fois que vous remarquez que tout le monde vous aime, posez-vous la question : est-ce que je suis aimé(e) pour qui je suis ou pour la version de moi qui arrange les autres?

21- Votre amour-propre sera vu comme de l’arrogance par ceux qui n’en ont pas. Mais ce n’est pas grave. lls/elles le confondent avec de l’arrogance parce qu’ils ne savent pas ce que c’est que d’avoir un socle et d’être solide à l’intérieur. Votre solidité leur renvoie leur fragilité en pleine figure et votre socle leur rappelle qu’ils/elles n’en ont pas. Alors laissez les. Laissez-les vous traiter d’arrogant(e), hautain(e) ou égoïste. Peu importe. Et puis ne cherchez pas à corriger leur perception. Soyez plutôt reconnaissant(e) que leur jugement vous évite d’avoir à les écarter vous-même.

22- Tout le monde ne mérite pas d’avoir accès à vous. Votre présence, votre amitié, votre temps et votre gentillesse ont une valeur. Et ce qui a de la valeur doit être protégé. Être sélectif(ve) et pointilleux(se) sur qui a accès à vous, ce n’est pas de l’égoïsme. C’est de l’hygiène spirituelle. Donc quand vous êtes hyper accessible, trop gentil(le) avec tout et n’importe qui, que vous distribuez des sourires et des attentions à droite à gauche, ça peut paraître noble mais en réalité, c’est laid. Vous envoyez un message implicite que votre temps ne vaut pas grand chose, que votre énergie ne vaut pas grand chose. Et c’est surtout le signe d’un manque d’hygiène spirituelle. Beurk. A moins que vous ne soyez un homme/une femme politique en campagne (et même là, ce n’est pas offert gratuitement parce qu’il/elle espère avoir votre vote qui une fois obtenu vous fera lire l’heure).

23- Après un certain âge, vous n’êtes plus le produit de votre enfance mais de vos choix perso. Grandissez un peu. Si votre vie est merdique à 30 ans, c’est complètement de votre faute. Des choix que vous avez fait ces 5-10 dernières années. Blâmer vos parents à 12 ans, c’est compréhensible. À 20 ans, ça va encore. À 30 ans, c’est pathétique.

24- Votre environnement mental est aussi puissant que votre environnement physique. Si vous ne choisissez pas ce que vous laissez entrer dans votre esprit, le monde choisira pour vous et ce sera rarement en votre faveur.

25- Si vous ne savez pas par où commencer, commencez par vous aimer mieux. Par vous traiter comme vous aimerez qu’on vous traite. Le reste suivra.

26- La vie est régie par des lois simples mais implacables. Ce ne sont pas des lois humaines ni des règles inventées par une société mais des lois aussi réelles que la gravité qui ne font d’exception pour personne. Le truc c’est que les gens vivent en pensant qu’ils peuvent les contourner. Comme si le fait de les ignorer leur permettait d’y échapper. Mais ces lois n’ont pas besoin de votre approbation pour fonctionner. Elles s’appliqueront toujours. Indépendamment de qui vous êtes. Et tant que vous refuserez de les apprendre, vous serez condamnés à perdre. Parce que la vie, c’est comme les maths. Si vous connaissez la formule correcte, vous aurez les bons résultats à chaque putain de fois.

27- Apprenez à décevoir vos parents. Parce que le prix de leur déception passagère sera toujours plus léger que celui de vos propres regrets éternels.

28- Votre futur ne se construira pas en faisant plus, mais en choisissant mieux. Faire plus c’est facile parce que ça vous donne l’impression d’être en mouvement. La quantité donne l’illusion du progrès. On se sent productif(ve) mais l’agitation n’est pas synonyme d’action et ce n’est pas parce que vous êtes en mouvement que vous allez dans la bonne direction. Choisir mieux, voilà qui est difficile. Parce que ça veut dire renoncer à des habitudes inutiles, à tout ce qui ne ressemble pas à votre vision de l’avenir, fermer des portes, faire preuve de discernement, assumer vos choix, etc etc…. Et ça, ça fait peur. Mais c’est la clé.

29- La souffrance est inutile. Elle ne sert à rien. A part à être un symptôme de trouble ou maladie mentale ou d’oisiveté.

La douleur est inévitable. Elle fait partie de la vie. Quand vous vous coupez, ça fait mal. Quand vous perdez quelqu’un, ça fait mal. Quand on vous trahit, ça fait mal. Et c’est normal. La douleur est un signal qui vous dit : attention, ici il y a quelque chose qui ne va pas. Regarde ce que c’est, comprend et répare. Trouve une solution. (Voir point 10)

La douleur fait grandir. Elle sert à quelque chose. Mais contrairement à la douleur qui a une valeur ajoutée, la souffrance n’en a aucune. Parce que c’est une blague de mauvais goût que vous fait votre cerveau parce que vous n’avez pas mieux à faire. Il prend une douleur déjà passée et construit des histoires à la con autour en la ressassant, en la déformant et en l’exagérant jusqu’à ce que ces histoires prennent plus de place que la douleur initiale…

La souffrance pour vous donner une image, c’est ce qui arrive quand vous grattez encore et encore la croûte d’une plaie qui est naturellement entrain de se cicatriser ou qui a déjà cicatrisé jusqu’à vous faire saigner pour ressentir la douleur à nouveau. C’est de la folie. Vous vous faites du mal tout(e) seul(e). Et si cette attitude devient votre identité et que vous vous retrouvez piégé(e) dedans, vous êtes foutu(e). Foutu de chez foutu. (Voir point 2)

30- Le lifestyle que vous souhaitez doit déterminer vos choix. Pas l’inverse. Le lifestyle, c’est la base. C’est le cadre dans lequel tout le reste doit entrer. D’abord, décidez du style de vie que vous voulez vraiment. Pas celui qu’on vous a dit de vouloir. Pas celui que vos parents ou la société valident. Le vôtre, clair et assumé. Ensuite seulement, alignez vos choix dessus. Sinon, bonjour l’incohérence et l’enfer intérieur.

31- Vous n’êtes pas venus sur terre pour guérir. Vous êtes venus sur terre pour vivre. Pour aimer, pour créer, pour rire, vous tromper, recommencer. Aujourd’hui, on parle beaucoup de blessures émotionnelles, de traumas et de guérison intérieure. Et c’est bien. Moi aussi j’en parle, j’en ai parlé et j’en parlerai probablement encore. Mais juste pour faire un retour d’expérience. Pas comme une identité. Parce que le piège de cette prise de conscience, c’est celui de se laisser définir uniquement par ça. Comme si être “en processus de guérison” était devenu une vocation. Beurk.

Excusez-nous mais le but de la vie n’est pas d’être parfait(e)s. Vos blessures ne sont pas des diplômes ou des médailles. Elles ne vous rendent pas plus spécial(e) qu’une autre personne alors ne laissez pas votre besoin de les comprendre et de les guérir se transformer en prison. Guérir, oui. Génial. Mais seulement comme un passage. Pas comme un projet de vie. Ce sont des blessures. Pas des cancers. Même les cancers se soignent et on passe à autre chose.

Ne vous servez pas de vos blessures comme excuses pour rester immobiles ou comme prétexte pour ne pas vous lancer, ne pas aimer, ne pas vivre. Allez en thérapie, ok? La majorité d’entre vous en ont besoin. Parce que flemme de vos mentalités de merde. Mais faites le et passez à autre chose. Ce que vous avez traversé fait partie de votre expérience mais ce n’est pas vous. Vos blessures ne sont pas censées devenir votre identité. Elles sont censées être vos tremplins. Faites le travail, cicatrisez et passez à autre chose. Capiche?

32- La thérapie ne vous transforme pas en quelqu’un de parfait. Au contraire. Elle vous remet devant votre humanité et vous en faites ce que vous voulez. Elle vous montre vos contradictions, vos failles et vos besoins réels. Elle vous met face à vous-même, sans excuses, sans masques et vous pose la question : voilà qui tu es. Maintenant, qu’est-ce que tu veux faire avec ça? C’est dur, inconfortable parfois douloureux mais nécessaire. Allez en thérapie. Mais, voir point 31.

33- C’est parce que vous demanderez la permission qu’on vous dira non. Arrêtez de chercher l’aval permanent des autres. Ces autres n’ont pas plus de clés que vous. Donc faites, osez et prenez de la place. C’est votre vie. Arrêtez de constamment tendre votre pouvoir de décision aux autres.

34- Vous êtes tout et rien à la fois. Tout parce qu’il n’y a qu’un seul “vous”, une empreinte unique, un passage que personne d’autre ne peut écrire à votre place. Rien parce que demain, la terre continuera de tourner si vous n’êtes plus là. Alors faites ce que vous avez à faire mais en même temps, rappelez-vous que tout ceci peut s’arrêter à n’importe quel moment et vivez. Vivez pour vous, débarrassez vous de ce que les autres pourront penser de vous et vivez pour ce qui compte pour vous parce qu’en fin de compte, rien de tout ça n’aura aucune importance. Et c’est justement pour ça que ça a de l’importance. Vous voyez ce que je veux dire? Enfin bref, même si vous ne voyez pas, je m’en fous.

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Damn, j’arrive pas à croire que j’ai déjà 34 ans. Mais j’adore avoir 34 ans. Et j’ai hâte d’en avoir 35. J’ai toujours rêvé avoir 35 ans. Petite, je voulais avoir 35 ans. Pour moi c’est l’âge parfait. Je ne sais même pas pourquoi (ce n’est pas vrai) mais j’ai hâte.

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